TRAFIC

Du fer dans les bananes
Les bananes de la société américaine Del Monte arrivent par bateau dans le port de Vado, en Italie. Comment les faire parvenir sur nos tables ?
La mission de Fret est alors de les faire remonter dans les meilleures conditions vers les sites de mûrisserie français.
Pour mener à bien cette opération, Fret dispose de 25 wagons frigorifiques qui assurent des rotations entre le port italien et leurs destinations françaises (Rungis, Lyon).


Poralu quitte la route pour le fer

Grâce à une coopération entre l'agence Fret de Grenoble et Fret Deutschland (groupe SNCF Participations), l'entreprise Poralu Marine d'Ambérieu (01) a choisi le rail pour transporter ses pontons en aluminium équipant les ports de plaisance.
Pour la convaincre, il a fallu lui proposer des wagons pouvant supporter des charges importantes, une possibilité d'envois en masse (30 à 35 wagons à la fois) ainsi qu'un suivi à la trace de la marchandise aux deux extrémités de la chaîne de transport.

les infos du 16 juin 00


Papiers, SVP !
Depuis peu, Fret SNCF assure deux nouveaux trafics de papier en provenance d'Italie pour un de ses clients spécialisé dans les produits «hygiène» en grandes surfaces. Cela concerne principalement du papier conditionné sur palettes livré sur l'embranchement Norpec, près d'Armentières (59) et au stockage, gestion et livraison terminale de bobines de papier près de La Madeleine. Le trafic total représente actuellement 45 wagons soit 600 tonnes par mois.
Il est à ce jour conclu pour un an.


Fret se meuble en Lorraine'

Depuis le 2 mai, Fret achemine et manoeuvre chaque jour une quinzaine de wagons sur la nouvelle plate-forme logistique d'lkéa implantée à La Mme (Moselle).
Le distributeur de meubles suédois a investi 300 millions de flancs dans cette infrastructure reliée à la fois au port de Metz et au triage de Woippy. Sur cette plate-forme, 40% des 350 000 mètres cubes de marchandises traitées chaque année arriveront d'Europe du Nord et de l'Est.

Les infos du 19 mai 00


Le carburant pour avion prend le train

Depuis quelque temps, la région SNCF de Lyon participe activement au transit de carburant pour avions entre la raffinerie BP de Martigues (Bouches-du-Rhône) et l'aéroport de Kloten (Zürich), en Suisse. Ce trafic qui, pour le moment, porte sur quatre trains par semaine, devrait atteindre, par an, 200 000 tonnes de fret, et constituer un enjeu commercial important. A l'heure où, peu à peu, se construit l'Europe, la région SNCF de Lyon ouvre la voie pour montrer à quoi pourrait bien ressembler le trafic fret de l'an 2000.
La hausse de la consommation du carburant pour avions et la baisse du prix du pétrole dans l'Europe du Sud ont amené la société BP Suisse à se tourner vers sa raffinerie de Martigues pour l'approvisionnement de l'aéroport de Kloten (Zurich).
Celui-ci, le septième aéroport européen, est le seul qui dépende d'un approvisionnement par voie ferrée. Ce constat a amené les Chemins de Fer Fédéraux suisses (CFF) à jouer la carte ferroviaire de bout en bout. L'alternative aurait consisté à acheminer le carburant par pipe-line jusqu'à Genève et par rail ensuite pour Zurich-Kloten.
La région de Lyon et l'équipe produit fret (EPF) de la région de Marseille ont saisi l'opportunité : concevoir et mettre en circulation un aller-retour quotidien malgré les nombreuses contraintes du cahier des charges, notamment en matière d'horaires. Un bilan récent de situation pour connaître le degré de satisfaction du client (BP Martigues) a démontré la réussite de cette opération. Réussite à laquelle doivent être associés les agents de l'établissement exploitation de Lyon-Sud (triage de Sibelin) ainsi que ceux de l'UP traction de Sibelin, dont la compétence a démontré la capacité de la région à s'inscrire dans une stratégie commerciale à l'échelle européenne où la concurrence est de plus en plus vive. Cette dernière s'exerce dans deux domaines : l'acheminement du combustible (pipe-line, voie d'eau, chemin de fer) et le produit lui-même (origine, prix, géographie). Il est en
effet très important que tous les acteurs démontrent leur capacité de transporteurs à l'écoute du client, seul moyen de tenter de contrecarrer les projets des grands groupes pétroliers d'implanter à l'est de Dijon un immense dépôt raccordé aux pipe-lines existants. La réalisation d'un tel projet priverait la région SNCF de Lyon d'un trafic de 1,2 million de tonnes de fret en transit depuis le sud de la France. Dernière précision : le train qui circule quatre jours par semaine comporte 22 wagons citernes à boggies, soit 1800 tonnes.

Bernard LAVILLE LVDR du 09-09-99

Important trafic de coke dans l'Allier


Embranchée sur la ligne Paris - Clermont-Ferrand, entre Saint-Germain-des-Fossés et Varennes-sur-Allier, la cimenterie Vicat, de Créchy (Allier), dont le four est chauffé au coke de pétrole, se constitue régulièrement des stocks pour une durée d'environ deux ans.
Ce coke provient des Etats-Unis et arrive par cargo minéralier au Havre, où il est chargé dans les wagons du réseau ou bien de particuliers pour être livré sur l'installation terminale embranchée de la société. La SNCF vient ainsi de transporter quelque 34 500 tonnes de coke à l'aide de vingt-huit trains de 1200 tonnes.
Parvenus à Saint-Germain- des-Fossés, ces trains de coke sont scindés en deux pour être livrés au client, à raison de quatre rames hebdomadaires de 600 tonnes.
La cimenterie Vicat fait transborder le coke par l'entreprise SATM de Vichy à bord de camions qui conduisent le
combustible à l'endroit de stockage. En outre, quatre trains de 1200 tonnes chacun de gypse, en provenance de Saint-Michel-de-Maurienne (Savoie), ont été livrés suivant le même principe (deux au mois de juillet, deux autres au mois d'août) afin de répondre à des besoins plus ponctuels de l'entreprise. De même, il est envisagé de faire venir, d'ici à la fin de l'année, deux à quatre trains d'oxyde de fer depuis la gare de Valenciennes, suivant les nécessités et en fonction de la consistance des sites exploités par la cimenterie.

Michel BEZY LVDR du 09-09-99


Cerestar mise sur le rail à Haubourdin (Nord Pas de Calais)

Cerestar transforme le maïs en amidon et dérivés (produits utilisés dans les industries alimentaire, papetière, pharmaceutique. . .). En 1998, le trafic ferroviaire de cette société, basée à Haubourdin (Nord), s'élevait à 380 000 t ; il devrait atteindre 450 000 t cette année, soit sept trains entiers par semaine. En juin, l'embranchement particulier de ce client a été remis à neuf et adapté au développement du trafic : il permet désormais de décharger un train en six heures.L'équipe de desserte de la gare de Haubourdin assure le déchargement, le pesage et la livraison. L'étude et le suivi des travaux ont été confiés à la SNCF dans le cadre d'une mission Cogerail.
Par ailleurs, Cerestar construit six nouveaux silos d'une capacité de 1500 tonnes, ainsi qu'une fosse de déchargement par fer.

Willy DELEU LVDR du 1-09-99

Alliés de poids pour le projet de plate-forme à Narbonne
Le projet d'installation d'une plate-forme de transport ferroviaire sur le site de Saint-Germain à Narbonne a le vent en poupe. Quelques semaines après l'accord de principe donné au cofinancement d'une étude par l'Etat et les collectivités locales (LVDR du 5 mai 1999), Gérard Sévely, le directeur de la région SNCF de Montpellier, vient de confirmer au maire de Narbonne son soutien technique. « L'apport des techniciens de la SNCF sur le projet lui-même et la promotion que peut faire la société autour de la plate-forme est très important pour son aboutissement », estimait-on, fin avril, au cabinet de Michel Moynier.
La SNCF propose une intervention en quatre points :
« La confirmation de l'intérêt du raccordement ferroviaire, l'aide des services techniques pour l'aménagement ferroviaire de la zone, l'aide à l'établissement d'un cahier des charges en vue d'une étude économique de potentiel, l'aide aux actions de commercialisation. »Toujours selon la SNCF « l'accès économique et rapide au réseau de transport combiné existant devient performant si 30 à 40 caisses (équivalent remorque routière) transitent journellement sur le site », C'est donc ce potentiel qu'il faut maintenant trouver pour développer l'activité logistique .

André DESPLAS LVDR du 19-05-99


Bellegarde : installation embranchée pour la valorisation des déchets
Sous la direction de Fernand
Doucet, ancien maire de Vétraz-Monthoux, près d'Annemasse, le Syndicat mixte de gestion des déchets du Faucigny-Genevois (Sidefage) vient de réaliser à Bellegarde-sur-Valserine, dans le département de l'Ain, une plate-forme de valorisation de déchets ménagers et assimilés. Cette dernière réunit sur le même site une unité d'incinération et un centre de tri permettant de traiter les déchets des 215 000 habitants dispersés sur le territoire du Sidefage. Située à 3 km au sud de la gare de Bellegarde, la plate-forme de valorisation est embranchée sur la voie 2 de la ligne Lyon - Genève, où circuleront des trains de wagons-plats à boggies type S 83 pouvant contenir trois conteneurs de déchets en provenance du Pays de Gex (quatre wagons par jour) et d'Etrembières (huit par jour) ce qui représente 36 conteneurs et un tonnage de 500 tonnes environ par jour (le projet ne prévoyait à l'origine que 70 000 tonnes par an). La Savoie et la Haute-Savoie, qui comptent chaque année 10 000 habitants supplémentaires, se devaient de concevoir une plaie-forme en fonction de leurs besoins à long terme.

Bernard LAVILLE LVDR du 19-05-99


Un nouvel embranchement privé près de Saint-Jory(16-05-99)

La Somédat (Société méditerranéenne de transport automobiles) a reçu, le 29 mars, les six premiers wagons sur sa nouvelle installation terminale embranchée (ITE) de Lespinasse, gérée par les équipes de manoeuvre du triage de Saint-jory (Haute- Garonne) et les agents de la gare principale fret de Fenouillet.
Société spécialisée clans la réception et la distribution de véhicules neufs Opel dans la région, la Somédat assure également les opérations de préparation et de mise à disposition pour les différents concessionnaires... ainsi que le stockage. La prise en charge des voitures Ford au 1er juin générerait l'arrivée de cinq ou six wagons supplémentaires par jour sur l'ITE.
Daniel CARA LVDR du 12/05/99


Vierzon veut réouvrir son triage (16-01-99)
Lavaufranche; le train retourne à la mine (16-01-99)
Comment reconvertir un terrain militaire intelligemment, allons dans l'Allier, sur la ligne Paris-Clermont...(21-10-98)
Bonne nouvelle à Marseille (23-05-98)
Les 3 suisses découvrent le train(23-05-98)
Nanteuil-le-Haudoin : le silo dope le fret(08-04-98)

La coopérative Valfrance vient de faire construire un silo à céréales raccordé au rail à Nanteuil-le-Haudoin (Oise), entre Paris et Soissons. Une réalisation qui n'avait pas eu lieu depuis plus de quinze ans en France.

" La construction et le raccordement au rail ont permis la réouverture de la gare au fret ", note Jacqueline Wurmser, directrice de l'agence commerciale fret d'Amiens. " Ce projet a d'ailleurs été soutenu par la municipalité, et l'aide au financement a été gérée conjointement par la SNCF et le Comptoir agricole français. " Dans ce silo tout neuf, les tests, manutention et autres se déroulent depuis le 1er janvier, le premier train devant circuler le 6 mars. " D'une contenance totale de 20 000 t, ce silo reçoit par la route des céréales en provenance de 6 silos de collecte plus petits ", explique Eric Gobard, responsable exploitation à Valfrance. " Il est amené à jouer un rôle de silo pilote pour la région. D'ici deux ans, sa capacité pourrait être augmentée de 8 000 t. " Les céréales, classées par qualité, sont entreposées dans des cellules (sortes de compartiments à l'intérieur du silo), dont chacune correspond à un train complet, soit environ 1 200 t. Moins de quatre heures suffisent pour charger un train, le débit pouvant même aller jusqu'à 400 t à l'heure. Le poste de conduite de la locomotive de manoeuvre est vide : elle est télécommandée par une seule personne qui s'occupe aussi des opérations de chargement ! Sitôt rempli, le train est rapidement acheminé vers les clients : amidonniers, malteurs ou meuniers du nord de la France, mais aussi du nord de l'Europe. Cette réouverture au fret dynamisant le secteur, d'autres installations embranchées pourraient voir le jour d'ici quelque temps. . .

Thierry VENIN LVDR du 18-03-98


La valorisation des déchets apporte un nouveau trafic(08-04-98)

A proximité de la gare du Bayet, dans l'Allier, se trouve une usine d'incinération des ordures ménagères et un centre de récupération et de tri des déchets provenant des Sictom du sud de l'Allier. Le plastique part pour Moulins, le verre pour Puy-Guillaume, le carton et le papier pour Clermont-Ferrand et les métaux ferreux et non ferreux vont à Issoire.

L'orientation actuelle vers la valorisation des déchets accroît les transports entre les lieux de stockage et les usines de traitement. Elle favorise aussi l'utilisation de la solution rail-route telle que le système multi-berces de la SNCF. Des caisses amovibles, facilement stockables, pouvant être transportées aussi bien sur wagons que sur camions, ont été chargées de ferrailles en gare de Bayet, transportées par camions jusqu'à la gare de Gannat, où avait lieu le transfert sur wagons à destination des établissements Bourbié, à Issoire.

LVDR du 25-03-98

Projets de transport des déchets par fer(21-2-98)


1997, un bon millésime pour le fret ferroviaire dans la région du Nord
L'Ile-de-France redécouvre le rail

ChauInes-Péronne, merci Flodor.

Le 1er juillet, la ville de Péronne et la direction régionale d'Amiens ont célébré la " réouverture " de la ligne fret ChauInes-Péronne. 58 trains de chips Flodor prendront le rail vers Milan, 70 trains sont prévus en 1998. La société des transports Lefèvre-Delavenne assure le préacheminement routier et le chargement de wagons sous la maîtrise de la SNCF.


PORT-LA-NOUVELLE

Le trafic fret progresse de 40 %.

L'activité fret ferroviaire a enregistré une hausse de 40%, cet été, à Port-la-Nouvelle (Aude), sur la ligne Narbonne - Port-Bou. Soit 424 000 tonnes transportées contre 301 000 en 1996, à la même époque. Ce qui représente plus de 400 trains entiers de 22 wagons.

Le trafic des céréales en provenance de Midi-Pyrénées, du Centre et de la Bourgogne vient en tête, mais le port audois, qui flirte avec les 3 millions de tonnes par an, amène également un trafic de gaz qui transite par demi-trains de 12 citernes, d'essence, d'alcools viticoles (SAV) et de petits trafics de sel en hiver.

Cette année, 20 trains entiers de wagons-tombereaux sont partis des salins de Sainte-Lucie.

Par ailleurs, un trafic important est en train de naître : celui des tuiles en provenance d'Angoulême et à destination d'Israël.

André DESPLAS LVDR du 08-10-97


Un important trafic de gypse pourrait voir le jour dans les Alpes.

( DERNIÈRE NOUVELLE: Tous les sous ont été trouvé, et les travaux vont débuter -20-10-97 )

Un important trafic Fret devrait bientôt voir le jour entre St Jean de Maurienne (73 ) et Chambéry. Il s'agit de l'approvisionnement en gypse de l'usine Placoplatre de Chambéry depuis la carrière de St Pancrace (près de St Jean de Maurienne). Ce transport qui représentera 300 000 tonnes annuelles sera effectué par trains complets d'environ 1 000 tonnes à raison d'un par jour à destination de la gare principale Fret de Chambéry. Le démarrage du trafic est prévu pour la mi-1998.

Un nouvel embranchement particulier

Cela passe par la construction de diverses installations permettant le chargement et le déchargement rapide. A St Jean de Maurienne seront édifiés une trémie de 45 m3 pour le chargement des wagons, un extracteur, des silos de stockage de 1 000 tonnes et des moyens de pesage. A Chambéry un nouvel embranchement particulier verra le jour chez Placoplatre. Cet embranchement doit comprendre une fosse de réception pour le déchargement, des transporteurs à bande et des silos de pré-stockage d'une capacité de 1 200 tonnes. Ces travaux, dont le coût a été évalué à 19 miIIions de francs, seront cofinancé par Placoplatre, la SNCF, les collectivités locales et territoriales.

Transfert de la route au rail

Comment en est-on arrivé là? Dans sa stratégie de développement européenne, la société Placoplatre a projeté d'augmenter les capacités de production de son usine de Chambéry. Pour ce faire, l'agrandissement des bâtiments existants s'est révélé nécessaire. La SNCF a été saisie pour la première fois en 1993 du projet d'extension de l'usine impliquant la dépose d'une partie des voies de desserte de la zone industrielle de Chambéry-Bissy. En 1994, un groupe de travail a été constitué réunissant la mairie de Chambéry, la SNCF et Placoplatre afin d'examiner dans quelles conditions, en contrepartie d'une cession de terrains qui diminuera son potentiel de transport, la SNCF pourrait se voir confier l'ensemble des approvisionnements de gypse jusqu'alors acheminés par la route. Après de longues négociations, ce groupe de travail a mis au point un projet logistique permettant l'approvisionnement par rail de l'usine. Ce projet, qui permet le développement et la pérennité de l'usine Placoplatre, aura également des conséquences positives sur l'activité Fret SNCF de Chambéry. De plus, les gains pour la collectivité d'un tel transfert de la route sur le rail seront importants. En effet la solution ferroviaire permettra d'éviter la circulation journalière de plus de 160 poids-lourds sur l'axe particulièrement chargé de la vallée de la Maurienne. Outre une amélioration de la sécurité routière, cet allégement de la circulation générera de fortes économies d'énergie, ainsi que de considérables économies en coûts externes ( pollution, effet de serre...).

Pour déboucher concrètement dans les délais prévus, ce projet n'attend que le bouclage du cofinancement. Maintien de l'activité et des emplois, économies d'énergie, environnement, autant d'atouts qui font de ce projet une solution où tout le monde est gagnant.

Sylvain Wadier Directeur de l'usine Placoplatre:

"L'expansion du marché de la plaque de plâtre en particulier en Italie du nord conjuguée au développement de nouveaux produits nécessite l'extension de l'usine de Chambéry Les travaux porteront sur l'augmentation de surface des bâtiments 10 000 m2 et le remplacement de la majeure partie des équipements de la chaîne de plâtre. Cela permettra de faire passer notre production annuelle de 23 à 40 millions de m2 de plaques de plâtre. L'accord conclu avec la SNCF est une réponse satisfaisante à l'accroissement de l'approvisionnement en gypse de l'usine. Nous attendons cependant du rail le même service que la route, c'est à dire régularité et ponctualité."

---Alain Fortuna---Alp'infos juillet 1997---